La sublimation : une mise au travail du suje
Martin Pigeon


Lorsque celui qui chemine dans l’obscurité chante, il nie son anxiété, mais il n’en voit pas

pour autant plus clair.[i] (Freud)

Pour le névrosé, le savoir est la jouissance du sujet supposé savoir, c’est bien en quoi le névrosé est incapable de sublimation.[ii] (Lacan)

 

  Le sujet invente ou n’est pas.[iii]

  Lorsque les gens travaillent parce qu’il faut travailler, ne travaillent pas parce qu’il n’y a pas d’emplois sur le marché, prennent des vacances parce que c’est le temps des vacance ; lorsqu’un homme et une femme se retrouvent ensemble pour ne pas être seuls, baisent parce que « la sexualité c’est important pour que le couple fonctionne », ont un enfant parce que... parce que la femme est enceinte ; lorsqu’une masse de personnes est rivée devant leur écran de télévision parce qu’elle n’a rien d’autre à faire ; lorsque parents et professeurs ne soutiennent plus le désir de savoir auprès des enfants ; lorsque le prozac, le rivotril et autres remèdes face à la douleur d’exister deviennent pour un nombre sans cesse croissant de nos contemporains leur pain quotidien ; bref, lorsque l’on ne cesse d’être témoin de morosité subjective, d’ennui et de désabusement ; quand l’ignorance et la lâcheté sont si répandues, il n’est peut-être pas déplacé de parler de crise humaine. 

  À l’heure de la communication et des besoins que la technologie cherche à combler plus facilement et rapidement, Autre Chose semble trop souvent passer sous silence et faire retour insidieusement, voire violemment.

  Au-delà des causes particulières propres à chaque sujet, les différents exemples cités plus haut ont ceci de commun qu’ils dénotent une certaine rupture sur le plan de l’activité de la pensée. J’entends ici par activité de la pensée une pensée qui est inventive, qui met au travail le sujet, qui produit quelque chose de neuf ; et non une pensée qui relève du rituel, du compulsionnel ou de l’acting out.

  Cette activité de penser relève-t-elle de la sublimation ? 

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  Ce que l’on nomme l’être humain est fondamentalement un être de langage, un être parlant, un parlêtre (Lacan). Tout son « être » ne se réduit pas au langage, mais se réfère à sa structure. Ce fait est capital si l’on veut arriver à comprendre ce qui fait crise et malaise chez lui, que ce soit sur le plan individuel ou collectif.

  La rencontre du langage humanise. Celle-ci se traduit par l’irruption du signifiant ; elle a principalement deux conséquences : la ségrégation et la pulsion. 

  La ségrégation est inhérente à la structure du signifiant : un signifiant se définit par le fait qu’il s’oppose (et donc s’exclut) à tous les autres signifiants. Lorsque je parle, je ne choisis qu’un seul mot à la fois, et de ce fait, j’exclus tous les autres mots possibles. Le problème de la ségrégation commence lorsque la responsabilité de cette exclusion est portée sur l’autre – mon semblable, ou encore celui qui est différent de moi – plutôt que sur la structure à laquelle je est sujet.

  Autre conséquence de la rencontre du signifiant : la pulsion, soit l’irruption du sexuel. La rencontre du discours de l’Autre rend le sujet effet d’une chaîne signifiante. Toutefois, le signifiant ne peut représenter tout le champ du réel du sujet ; ou, pour être plus précis, c’est par la structure même du signifiant, par son impossible à tout signifier, que se pose un au-delà à son articulation : la castration. Ce lieu, l’au-delà de la chaîne signifiante, amène Freud à parler d’un au-delà du principe du plaisir et Lacan à introduire le champ de la jouissance.

  La ségrégation et la pulsion, donc, divisent le sujet. L’être du sujet est séparé de ce qui le constitue : l’exclusion de la jouissance propre à l’ordre du langage. Néanmoins, le sujet ne tente pas moins de récupérer cette jouissance. C’est cette conséquence, principalement, que la psychanalyse traite. La modalité de « récupération » de la jouissance représente en quelque sorte la particularité de chaque sujet – de la morbidité à la sublimation. 

  La sublimation serait-elle un effet que l’on pourrait logiquement attendre d’une cure analytique ? 

  Si l’on considère la sublimation comme une fin, il va de soi que l’analyse ne mène pas nécessairement l’analysant à la sublimation. L’analyse ne produit pas des génies, et à l’inverse, un créateur ne perd pas son inspiration à faire une analyse. Définir la sublimation comme une fin relève de l’idéalisation. Aborder la sublimation par le biais de la production d’œuvres dévalue l’importance que revêt ce concept – laissons les universitaires s’amuser à faire de la psychanalyse appliquée.  

  Si la sublimation est un concept analytique, c’est qu’elle répond à une nécessité au niveau de la lecture de ce qui est en jeu dans l’expérience analytique. C’est pourquoi je préfère parler d’invention plutôt que de création, portant ainsi l’accent sur le processus, sur le moyen. J’aborde donc la sublimation comme une réponse du sujet à son entrée dans l’ordre du signifiant, une réponse mobilisant son activité de penser et, par le fait même, suscitant l’acte.

  Questions : qu’est-ce qui voue un sujet à l’échec de la sublimation ? En quoi la cure analytique oriente-t-elle (si tel est le cas) l’analysant vers la sublimation ? 

  Rencontrer le langage, soit perdre la jouissance que le langage lui-même, dans l’après-coup, suppose, revient à rencontrer la demande de l’Autre (de la mère en premier lieu, généralement). De là, une place est assignée au sujet par l’Autre. Mais en répondant à la demande de l’Autre, soit en s’identifiant à son manque (phallus imaginaire), le sujet s’aliène. Autrement dit, par cette identification le sujet perd sa singularité – singularité qui n’a pu advenir qu’en passant par cette identification !

  Il ne s’agit pas ici de revenir sur la structure œdipienne, mais de souligner une séquence :

1) Le sujet rencontre de la demande de l’Autre, soit l’habit signifiant de son désir.

2) La rencontre du désir de l’Autre, comme nous le rappelle Lacan, se traduit pour le sujet par l’angoisse.

3) Cette angoisse est apaisée par l’intervention de la fonction paternelle.

4) Mais comme la signification phallique ne peut pas tout signifier, comme le père ne peut pas ne pas être défaillant en vertu de la structure du signifiant, ce que le père ne pourra métaphoriser pour le sujet, le symptôme le fera.[iv] Le symptôme fait ainsi suppléance là où la fonction paternelle défaille. Le symptôme, en quelque sorte, sait ce qu’il faut pour suppléer à cette fonction (cf. le petit Hans). Seulement, ce savoir et la raison de cette suppléance échappent au sujet. Cette ignorance, très souvent, parasite la pensée du sujet et inhibe son corps, ce qui se traduit par une morosité subjective (ennui, affect dépressif...), c’est-à-dire par le fait d’être affecté d’une jouissance sans savoir – travail silencieux de la pulsion de mort, disait Freud.

  C’est ici que nous retrouvons la sublimation : la sublimation comme mise au travail du savoir que métaphorise le symptôme, soit un travail de « Bien-dire » – d’où son lien étroit avec l’éthique.

  Attardons-nous davantage sur les liens qu’entretien-nent sublimation et symptôme.

  Tout d’abord, sublimation et symptôme (comme effet du refoulement) sont, nous dit Freud, des avatars de la pulsion.[v] Ces destins divergent en ce qui concerne la façon dont chacun réalise le but de la pulsion : la satisfaction. Freud est vite conduit à considérer cette satisfaction comme mythique, elle est avant tout présente sous son versant d’impossible.[vi] Mais bien qu’impossible, la pulsion ne la vise pas moins.

  Le symptôme, par le biais du refoulement, sexualise la satisfaction (la jouissance phallique comme jouissance du semblant, jouissance d’un objet qui n’est pas). Là où la substitution signifiante s’avère impuissante à cerner le réel, le symptôme (retour du refoulé) acquiert une signification phallique. Le symptôme vient faire bouchon phallique[vii] ; ce qui fait de lui le plus fidèle partenaire du sujet, lui évitant ainsi la rencontre de la castration, même si le prix à payer peut lui être très élevé en souffrance.

  De son côté la sublimation, nous dit Freud, atteint la satisfaction sans passer par le refoulement. Elle l’atteint par le biais de « l’inhibition quant au but ». Freud ajoute : cette atteinte a pour effet de « désexualiser » la pulsion. Que signifie cette dé- sexualisation et ce changement du but ?

  Peut-on traduire cette désexualisation par une séparation du sujet face à son identification imaginaire au phallus, par un refus du leurre du symptôme (prendre la satisfaction substitutive pour la satisfaction recherchée)?

  Chose certaine, la désexualisation ne veut pas dire que la sublimation ne soit pas concernée par le sexuel. Elle indique plutôt une réponse du sujet face à l’impossible du rapport sexuel. Plus encore, elle en démontre l’impossible – ce dont le sujet tire satisfaction.

  Voilà la distinction majeure que l’on peut dégager entre la sublimation et le symptôme. Alors que le symptôme métaphorise l’impossible de la satisfaction, et par conséquent le voile en le « significan-tisant » phalliquement, la sublimation démontre cet impossible en appuyant son activité de penser sur ce lieu hors-signifiant (d’où l’absence de pensée au moment de l’acte). La sublimation pousse ainsi le sujet à répondre de lui-même[viii] au réel du manque dans l’Autre ; pas de sublimation sans acte.

  Nous comprenons mieux pourquoi il y a changement de but dans la sublimation. Le but ne se localise pas au niveau de l’atteinte de la satisfaction, mais au lieu du parcours qu’emprunte le travail de la pulsion : « la satisfaction ne se livre qu’au montage de la pulsion » [ix]. Pour éclaircir davantage ce problème, Lacan a recourt à des notions de topologie des plus simples. Ses considérations vont l’amener à renverser le rapport entre pulsion et sublimation. 

  Comme le rappelle Freud, la pulsion s’appuie sur le corps, plus exactement sur certaines zones du corps, celles qui ont été investies par les signifiants de la demande (l’oralité : la demande à l’Autre ; l’analité : la demande de l’Autre...). Nous revenons à l’irruption du signifiant. Celle-ci troue le corps et creuse un vide irréductible. Par exemple : la faim, sous l’action de l’articulation de la demande (pulsion), se détache de l’ordre du besoin. La faim d’aliments (objet oral) se transforme vite en faim d’autre chose : faim d’amour. La pulsion pose un au-delà à la demande qui s’avère impossible à combler. Dit en d’autres termes, l’irruption du signifiant creuse le corps du sujet, l’évide de sa jouissance. Cet espace vide – ce qui est creusé par le signifiant – Lacan l’appelle dans son séminaire sur l’éthique « la Chose » (das Ding, terme auquel se réfère Freud dans l’Esquisse) : ce qui fonde et maintient la pulsion, la Chose autour de laquelle elle tourne, vide qui est à la fois intime et étranger au sujet[x]. Das Ding est cet espace mental qui se doit d’être maintenu vide – telle est la condition nécessaire au procès de la sublimation, mais aussi, de façon plus générale, de toute activité pulsionnelle. 

  Ce que nous trouvons dans la loi de l’inceste se situe comme tel au niveau du rapport inconscient avec das Ding, la Chose. Le désir pour la mère ne saurait être satisfait parce qu’il est la fin, le terme, l’abolition de tout le monde de la demande, qui est celui qui structure le plus profondément l’inconscient de l’homme.[xi] 

  Das Ding n’est pas la mère mais l’espace vide – « le centre du développement psychique »[xii] – qui se constitue par la rencontre de la demande maternelle et qui ne peut être satisfaite en raison de la présence de la fonction paternelle.

  Ainsi présenté, le statut de la pulsion se modifie. Toute pulsion est inhibée quant au but que serait la jouissance, celle qu’il ne faut pas car elle abolirait le champ du désir, l’essence de l’Homme, comme le disait Spinoza. 

  La sublimation, qui apporte au Trieb une satisfaction différente de son but toujours défini comme son but naturel – est précisément ce qui révèle la nature propre du Trieb en tant qu’il n’est pas purement l’instinct, mais qu’il a rapport avec das Ding comme tel, avec la Chose en tant qu’elle est distincte de l’objet.[xiii]  

  Le renversement qu’opère Lacan est de définir la structure de la pulsion par la sublimation.

  Le propre de la pulsion est de faire le tour de l’impossible que Lacan nomme Das Ding. On peut donc définir la sublimation comme la démonstration de la structure de la pulsion, démonstration procédant d’une mise au savoir[xiv] – ce vers quoi s’oriente logiquement la cure lorsqu’elle est éthiquement menée, c’est-à-dire lorsqu’elle interroge l’objet cause du désir de l’analysant.

  Naturellement, toute dérive pulsionnelle ne se solde pas en sublimation. Toute dérive pulsionnelle se solde par un échec : l’impossibilité de la pulsion à être satisfaite par le signifiant. C’est de cette impossibilité que se réitère le mouvement de la pulsion.

  C’est sur le plan du traitement de cette insatisfaction que le destin de la pulsion diverge. Ou bien le lieu autour duquel gravite le circuit pulsionnel est voilé et occulté, par le biais de symptômes ou de certaines positions identificatoires, par exemple ; ou bien un savoir est élaboré par le sujet de cet impossible. Élaborer un savoir de cet impossible relève d’un travail de lecture, la lettre à lire étant ce qui borde le trou autour duquel tourne l’itération pulsionnelle : « La lettre n’est-elle pas le littéral à se fonder dans le littoral ? [...] La lettre n’est-elle pas proprement le littoral, le bord du trou dans le savoir que la psychanalyse désigne justement quand elle aborde le lettre ? »[xv] Faire lecture de la lettre qui fait littoral entre la jouissance et le savoir, relèverait-il, pour le sujet-lecteur, de la sublimation ; lecture qui serait rendue possible, dans la cure, par la ponctuation (l’acte analytique comme coupure) ?

  Ainsi, contrairement à une croyance populaire, sublimer ne veut pas dire travailler dans un laboratoire ou de créer une œuvre d’art plutôt que de  baiser ; la mise en acte de la sexualité auprès d’un partenaire, ou toutes autres activités pulsionnelles, peut être une sublimation en tant qu’elle n’occulte pas le rapport du sujet à la castration. 

  La sublimation révèle ainsi le réel de la structure, elle mi-dit la vérité du non-rapport sexuel en en démontrant son aporie. Elle n’est pas, j’y insiste, une fin en soi mais une modalité de lecture du réel à laquelle on peut s’attendre du sujet qui met au travail le savoir de son symptôme et la vérité de son désir. Elle signe donc le passage de l’impuissance (plainte liée au symptôme, à l’inhibition et l’angoisse) à la démonstration de l’impossible – la forme et le matériau (voix, regard...) que prend cette démonstration relevant du fantasme du sujet. 

  Ce que je pointe ici comme effet du travail analytique est facilement repérable dans la clinique. Une question se pose toutefois : la transformation subjective issue du travail de la cure analytique se manifeste-t-elle par la sublimation ? Bref, le concept de la sublimation est-il le plus juste à nommer cette transformation subjective ? Est-ce que le sinthome, par exemple, ne serait pas la nouvelle forme que prend la sublimation au terme d’une analyse – d’ailleurs Lacan ne fait pratiquement plus référence au concept de la sublimation après 1969, séminaire D’un Autre à l’autre, alors que celui du sinthome devient central dans ses derniers séminaires ? Questions à reprendre. 

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  C’est donc à rabattre la pulsion au rang du besoin – ce même besoin auquel les discours ambiants ne cessent de se référer – que l’on écrase toute ouverture à la sublimation. Il y a mille façons de répondre en ravalant la pulsion au besoin – ce dont témoignent nombre de (psycho)thérapies.

  Ne pouvons-nous pas mieux circonscrire l’enjeu de cette morosité subjective généralisée, à laquelle je faisais référence en début de texte, avec le concept de sublimation ? Une jouissance sans savoir, voilà ce que semble traduire cette morosité.

  La psychanalyse répond à ce malaise par une mise au savoir. Mise au savoir qui épure – fait lecture – la structure des scories imaginaires et symboliques qui occultent le rapport du sujet à sa castration. Occultation qui fait obstacle à l’activité de la pensée à laquelle je me référais en début de texte ; « le rejet de la castration marque le délire de la pensée »[xvi]. 

  L’invention crée son auteur et non l’inverse.  



[i] Sigmund Freud, Inhibition, symptôme et angoisse (1926), Paris, PUF, 1986, p. 12.

[ii] Jacques Lacan, Le Séminaire, Livre XVI, D’un Autre à l’autre (Inédit), leçon du 4 juin 1969.

[iii] Ce texte est issu d’un travail de cartel ayant pour objet le séminaire de Lacan : L’éthique de la psychanalyse.

[iv] Il s’agit ici du symptôme névrotique. Dans la psychose, il s’agit plutôt de forclusion de la fonction paternelle ; dans ce cas, c’est une construction délirante qui viendra faire suppléance.

[v] Sigmund Freud, « Pulsions et destins des pulsions » (1915), in Métapsychologie, Paris, Gallimard.

[vi] Id. : « Je crois que l’on devrait envisager la possibilité que quelque chose dans la nature même de la pulsion sexuelle ne soit pas favorable à la réalisation de la pleine satisfaction » (« Sur le plus général des rabaissements de la vie amoureuse » (1912), in La vie sexuelle, Paris, PUF, p. 64.) « La fonction sexuelle se refuserait quant à elle à nous accorder pleine satisfaction et nous contraindrait à suivre d’autres voies. » (Malaise dans la civilisation (1929), Paris, PUF, p. 57-58.)

[vii] Id. « Le symptôme serait le signe et le substitut d’une satisfaction pulsionnelle qui n’a pas eu lieu ; il serait un résultat du processus du refoulement. » (Inhibition, symptôme et angoisse, op. cit., p. 7). Voir également le petit exemple clinique dont parle Freud dans l’Esquisse, à propos de la sexualisation du symptôme d’Emma (Naissance de la psychanalyse (1895), Paris, PUF,        p. 364.

[viii] « Le psychanalyste ne s’autorise que de lui-même » (Lacan, « Proposition du 9 octobre 1967... », in Scilicet no 1, Paris, Seuil, p. 14.).

[ix] Jacques Lacan, « De la psychanalyse dans ses rapports avec la réalité », in Scilicet no 1, Paris, Seuil, 1968, p. 58.

[x] La figure topologique du huit intérieur montre bien que le creux, l’ « extimité » du sujet, se situe au cœur de son être ; le semblant venant ici occulter ce vide.

[xi] Jacque Lacan, Le Séminaire, Livre VII, L’éthique de la psychanalye (1959-60), Paris, Seuil, p. 83.

[xii] Idem, p. 125.

[xiii] Idem, p. 133.

[xiv] « Dans la définition de la sublimation comme satisfaction sans refoulement, il y a, implicite ou explicite, passage du non-savoir au savoir... » (Idem., p. 340.)

[xv]Id., « Lituraterre », voir la séance du 12/05/71, Le Séminiare, Livre XVIII, D’un discours qui ne serait pas du semblant (inédit). Texte publié dans Ornicar ?, no 41.

[xvi] Id., Le Séminaire Livre XIV, La logique du fantasme (inédit), 01/03/67.